{"close":false,"body":"\u003Cdiv class=\u0022modal-dialog \u0022\u003E\n \u003Cdiv class=\u0022modal-content\u0022\u003E\n \u003Cdiv class=\u0022modal-header\u0022\u003E\n \u003Cbutton type=\u0022button\u0022 class=\u0022close\u0022 data-dismiss=\u0022modal\u0022 aria-label=\u0022Close\u0022\u003E\u003Cspan aria-hidden=\u0022true\u0022\u003E\u0026times;\u003C\/span\u003E\u003C\/button\u003E\n \u003Ch4 class=\u0022modal-title\u0022\u003ECommentaire de CineFiliK\u003C\/h4\u003E\n \u003C\/div\u003E\n \n\u003Cdiv class=\u0022modal-body\u0022\u003E\n\n\t\u003Cdiv class=\u0022row\u0022\u003E\n\t\t\u003Cdiv class=\u0022col-sm-3 col-xs-4\u0022\u003E\n\t\t\t\t\t\t\u003Ca href=\u0022\/fr\/member\/cinefilik\/700076413\/\u0022\u003E\n\t\t\t\t\u003Cimg src=\u0022https:\/\/media.services.cinergy.ch\/media\/cropbox160\/553ee052cf264bb7f62fa59c2a1173c3e038f9ed.jpg\u0022 class=\u0022circle-lg circle-border\u0022 alt=\u0022CineFiliK\u0022 title=\u0022CineFiliK\u0022 \/\u003E\n\t\t\t\u003C\/a\u003E\n\t\t\t\t\t\u003C\/div\u003E\n\t\t\u003Cdiv class=\u0022col-sm-9 ol-xs-8\u0022\u003E\n\t\t\t\t\t\t\t\u003Ch3\u003E\n\t\t\t\t\tCineFiliK\n\t\t\t\t\t\t\t\t\t\u003C\/h3\u003E\n\t\t\t\t\u003\u003EMembre depuis: March 19, 2001 23:18\u003C\/p\u003E\n\n\t\t\t\t\u003Cdiv class=\u0022row spacer-20-up\u0022\u003E\n\t\t\t\t\t\u003Cdiv class=\u0022col-xs-4\u0022\u003E\n\t\t\t\t\t\t\u003Ch4 class=\u0022movie-header-footer-heading hyphenate\u0022\u003ECommentaires\u003C\/h4\u003E\n\t\t\t\t\t\t\u003\u003E1592 Films\u003C\/p\u003E\n\t\t\t\t\t\u003C\/div\u003E\n\n\t\t\t\t\t\u003Cdiv class=\u0022col-xs-4\u0022\u003E\n\t\t\t\t\t\t\u003Ch4 class=\u0022movie-header-footer-heading hyphenate\u0022\u003EEvaluations\u003C\/h4\u003E\n\t\t\t\t\t\t\u003\u003E1560 Films\u003C\/p\u003E\n\t\t\t\t\t\u003C\/div\u003E\n\n\t\t\t\t\t\u003Cdiv class=\u0022col-xs-4 hidden-xs\u0022\u003E\n\t\t\t\t\t\t\u003Ch4 class=\u0022movie-header-footer-heading hyphenate\u0022\u003EWatchlist\u003C\/h4\u003E\n\t\t\t\t\t\t\u003\u003E2 Films\u003C\/p\u003E\n\t\t\t\t\t\u003C\/div\u003E\n\t\t\t\t\u003C\/div\u003E\n\n\t\t\t\t\t\u003C\/div\u003E\n\t\u003C\/div\u003E\n\n\t\n\t\u003Chr\u003E\n\n\t\u003Cdiv class=\u0022\u0022\u003E\n\t\t\u003 class=\u0022editorial-text\u0022\u003E\u201cLa fin de l\u2019innocence\u201d\u003Cbr \/\u003E\r\n\u003Cbr \/\u003E\r\nA l\u2019\u00e9cole, le jeune Paul se distingue par l\u2019impertinence de ses dessins. Ainsi se lie-t-il d\u2019amiti\u00e9 avec Johnny, un camarade afro-am\u00e9ricain souvent coll\u00e9 lui aussi. Nous sommes dans le Queens de 1980. Les \u00c9tats-Unis sont en train de changer.\u003Cbr \/\u003E\r\n\u003Cbr \/\u003E\r\nL\u2019Armageddon biblique se d\u00e9finit comme le lieu de la bataille finale entre le bien et le mal. Alors que Ronald Reagan est sur le point d\u2019\u00eatre \u00e9lu, Paul apprend \u00e0 s\u2019endurcir sous les pressions familiales, les contraintes scolaires et les injustices sociales. C\u2019est d\u00e9j\u00e0 la fin de l\u2019enfance, la fin de l\u2019innocence.\u003Cbr \/\u003E\r\n\u003Cbr \/\u003E\r\nPouss\u00e9 par un \u00e9lan tr\u00e8s autobiographique, James Gray retourne dans ces ann\u00e9es charni\u00e8res qui marquent une rupture existentielle et nationale. Au sein de cette famille d\u2019origine juive ashk\u00e9naze, on se bat, quitte \u00e0 du ceinturon, pour que les pr\u00e9cieux fils b\u00e9n\u00e9ficient d\u2019une meilleure \u00e9ducation : \u00ab Je ne veux pas que tu sois comme moi, dit le p\u00e8re, mais que tu fasses mieux que moi ! \u00bb Selon lui, le salut ne peut venir que de l\u2019\u00e9cole priv\u00e9e et de son discours de r\u00e9ussite capitalisant l\u2019argent et le travail, plut\u00f4t que l\u2019artistique. Le clan Trump est d\u00e9j\u00e0 en place et relie l\u2019\u00e9poque \u00e0 celle d\u2019aujourd\u2019hui. Quant \u00e0 l\u2019\u00e9galit\u00e9 des chances, elle n\u2019est qu\u2019utopique, une peau blanche, comme en musique, valant deux noires. Dans cette reconstitution appliqu\u00e9e \u00e0 la r\u00e9alisation discr\u00e8te, c\u2019est la m\u00e9lancolie qui teinte les souvenirs. Le convaincant Michael Banks Repeta offre \u00e0 Paul ses poils de carotte et taches de rousseur. Le film reste toujours \u00e0 sa hauteur. Sous ses airs ang\u00e9liques, le petit garnement se permet quelque 400 coups, m\u00ealant provocation et na\u00efvet\u00e9. Ses r\u00eaves de fuite vers une Floride clich\u00e9e ne sont qu\u2019illusion. Il faudra tout l\u2019amour et la sagesse d\u2019un grand-p\u00e8re ayant \u00e9chapp\u00e9 aux pogroms \u2013 Anthony Hopkins touchant \u2013 pour lui inculquer des valeurs morales et faire de lui un Mensch.\u003Cbr \/\u003E\r\n\u003Cbr \/\u003E\r\n(7\/10)\u003C\/p\u003E\n\t\u003C\/div\u003E\n\u003C\/div\u003E\n\n \u003C\/div\u003E\u003C!-- \/.modal-content --\u003E\n\u003C\/div\u003E\u003C!-- \/.modal-dialog --\u003E\n"} 521n6b