The Substance , Royaume-Uni, Etats-Unis 2024 – 141min. 9676i

Résumé 194f

The Substance
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Drame Horreur Thriller

Grâce à son émission de sport télévisée, Elizabeth (Demi Moore) a réussi à se faire un nom dans le show-business, au point d’avoir sa propre étoile sur le célèbre Hollywood Walk of Fame. Mais le temps e et la beauté est éphémère. Maintenant plus âgée, elle est rejetée par le système qui l’acclamait autrefois. Mais alors qu’on lui propose de s’injecter une mystérieuse substance, elle pourrait bien retrouver le chemin des projecteurs. D’abord hésitante, elle accepte et bientôt, il n’y a plus d’échappatoire possible.

Date de sortie 1e3w3f

Suisse All.: 19 septembre 2024

Romandie: 6 novembre 2024

Tessin: 31 octobre 2024

Offres de streaming 2y4h2n

Réalisation 2u4d5g

Casting 6a1725

Bandes-annonces
Bandes-annonces 5 656r16
Photos
Photos 8 15t3t

Votre note a3m61

CommentairesPlus 1ze2i

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Anne 5w2z6

il y a 2 mois

Amateurs du genre 🔞 et des orgies de sensations , amateurs des histoires d’horreur , épouvante , gore , vous allez être servis , voici « The Substance », au cinéma .
Si vous n’êtes pas familiarisés avec ce genre de cinoche , je vous conseille de d’abord être gentil avec vous-même en commençant par d’autres classiques . Parce qu’ici c’est d’une générosité épicurienne ! Une pure folie , on en a pour son argent comme on dit !
Un de mes goûts « douteux » que j’ai dû reconnaître, c’est celui du gore: Ouais , je kiffe les films d’horreur , au sens large quand ça fout la trouille , ça gicle et ça fait rire : quand ça délire jusque dans les extrêmes . Que ça plaise ou non , « l’horreur » est un art dans la science fiction , qui bouscule , défie « merveilleusement » la réalité .
Et j’ai un respect pour Demi (mon dieu , quel prénom karmique !) Moore (pas moins ).. Il y a quelques années , elle a fait son coming out , elle s’est montrée telle qu’elle a été , broyée par les dictats du succès et des injonctions sociales ; elle était touchante , criante de vérité .
Elle est une nana dans le star system , elle a une voix éraillée qui ne colle pas avec son visage lissé, et finalement , au sortir , je me suis dit qu’elle avait quand-même cette étincelle, et que c’est ça , que je regarde .
Elle est touchante ; elle se montre totalement nue dans ce film , bref , attention : ce film est long , les bruitages et les gros plans sont du pur Gore , et le dégoût est exploré jusqu’à son comble . Peut-être connaissez-vous Carrie , le grand livre de Stephen King , et son film , un « merveilleux » film du genre ? On y est . Sauf que maintenant , en plus , peut-être n’est-ce que moi et mon expérience , ma culture dans ce genre ? J’ai énormément ri ! J’ai aussi ri oui , dans ce film . Film sans prétentions philosophiques (quoi que) et très très .. généreux . 🩸🩸🩸Voir plus

geradupo 345k1e

il y a 2 mois

Je vous recommande Les Femmes au Balcon de Noémie Merlant si vous ne l’avez pas vu: gore et drôle!

Anne 5w2z6

il y a 2 mois

@geradupo d’acc merci !


geradupo 345k1e

il y a 5 mois

🩸💉🩸Bien bien gore! 😂 Chapeau à Demi Moore de jouer ainsi avec son image! 🩸💉🩸

geradupo 345k1e

il y a 5 mois

J’ai particulièrement apprécié la mise en scène et les bruitages. Dennis Quaid est détestable à souhait😝


CineFiliK s3rm

il y a 6 mois

“Body double”

Ancienne star oscarisée, Elisabeth Sparkle se contente aujourd’hui d’une émission d’aérobic à la télévision étasunienne. Mais quand son producteur lui annonce qu’elle est virée le jour de son cinquantième anniversaire, c’est la chute, puis l’accident. Mais un élixir mystérieux pourrait lui offrir une seconde jeunesse.

L’histoire d’Elisabeth est symbolisée par une étoile. Son étoile qui orne le « Walk of fame » de Hollywood Boulevard. Sa mise en place dorée est honorée par les nombreux flashs des photographes. Ce sont les selfies touristiques qui l’illuminent ensuite. Au fil des ans, les mémoires vont l’oublier. Fissurée par les aléas météorologiques, elle n’est plus qu’un bout de trottoir qu’on écrase sans plus le voir et sur lequel on renverse un hamburger souillé de ketchup cramoisi. Comment briller à nouveau dans cet univers impitoyable où l’on ne demande à une femme que son nom, son âge et ses mensurations ? En s’injectant la substance, essence capable d’exprimer la meilleure version de vous-même.

Le pacte est faustien et la fable évidente. Après un accouchement avec douleur par le dos, Sue naît et prend la place de sa mère matrice. Teint de pêche, lèvres pulpeuses, taille minceur et mamelons bien fermes. La créature est parfaite, prête à baiser la caméra pour plaire à l’Amérique machiste. A condition que la garde partagée de cette existence, une semaine sur deux, soit respectée.

En 2021, à Cannes, Julia Ducournau donnait vie à un fœtus automobile pour remporter une palme en titane. Coralie Fargeat, prix du scénario cette année au festival, pousse les curseurs plus encore dans le rouge. Son cinéma horrifique en appelle à David Cronenberg, David Lynch, Brian de Palma et Stanley Kubrick. Des références écrasantes qu’elle ingurgite et dégurgite sans craindre les effets de manche. La mécanique des fluides est lancée – sueur, matière verte, liquide amniotique, moelle, hémoglobine et quelques larmes. Des éclaboussures que les nombreuses douches ne pourront plus faire disparaître. Entre les piqûres et les points de sutures, les bélénophobiques détourneront le regard. Les amateurs de gore l’apprécieront jusqu’à l’overdose. Malmenée, la chair est triste à en devenir monstrueuse. Dans sa robe bleue, Cendrillon ne sera pas la plus belle pour aller au bal du diable.

Autant d’extravagances et de grotesque pour surligner les diktats d’une société malade encourageant la haine de soi. Les hommes ne sont ici que des Weinstein trumpistes en puissance, quand les femmes, victimes malgré elles consentantes, n’ont pour arme de défense que leur beauté. En misant sur des profondeurs de champs disproportionnées, des très gros plans disgracieux, ou en posant sa caméra au ras du sol, la réalisatrice déforme et écrase ses personnages. Se complaisant dans le vice voyeur, elle découpe ses séances de fitness clipesques comme dans le Call on me d’Eric Prydz. Entre la farce et la caricature, la dénonciation serait quasi vaine si la Française n’avait eu l’idée insolente de rappeler Demi Moore pour incarner le personnage d’Elizabeth. La reine des années 90 est aujourd’hui une sexagénaire hors champ, en dépit d’une plastique chirurgicale réussie. Face au miroir, miroir, c’est son propre portrait qui se dessine et se juge. La mise à nu courageuse de son corps et de sa carrière en devient alors bouleversante.

(8/10)Voir plus

Dernière modification il y a 6 mois


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Séances The Substance 6nq3

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Dès à présent dans les salles 6 sur 40 Films 4cd3z