Maria Chili, , Allemagne, Hongrie, Italie, Emirats Arabes Unis, Etats-Unis 2024 – 124min. 6a185j

Communiqué de presse 662y9

Maria 5zq6g

Paris, 1977 : Maria Callas (Angelina Jolie) est sans doute la plus grande soprano de tous les temps. Pourtant, cela fait des années que la Primadonna assoluta ne s'est plus montrée en public. Malgré le soutien de sa cuisinière (Alba Rohrwacher) et de son majordome dévoué (Piersco Favino), la diva ne se nourrit presque plus que d'antidépresseurs, dont les effets l'incitent à croire encore en un improbable retour sur scène. Mais la réalité est tout autre...

');var c=function(){cf.showAsyncAd(opts)};if(typeof window.cf !== 'undefined')c();else{cf_async=!0;var r=document.createElement("script"),s=document.getElementsByTagName("script")[0];r.async=!0;r.src="//srv.clickfuse.com/showads/showad.js";r.readyState?r.onreadystatechange=function(){if("loaded"==r.readyState||"complete"==r.readyState)r.onreadystatechange=null,c()}:r.onload=c;s.parentNode.insertBefore(r,s)}; })();

Votre note a3m61

CommentairesPlus 1ze2i

Vous devez vous identifier pour déposer vos commentaires.

& Enregistrement

CineFiliK s3rm

il y a 3 mois

“Diva”

A Paris, en 1977, la Callas se meurt. Ayant perdu sa voix, elle a quitté la scène depuis quatre ans et erre parmi les vestiges de ses bonheurs és.

Requiem pour une diva. Tosca, Violetta, Medea, Carmen, les plus beaux airs d’opéra escortent le destin funèbre de Madame Butterfly. Les images se troublent et se mélangent. Noires et blanches comme le souvenir de ses plus grands succès. Colorées pour des archives reconstituées à gros grains, brillant sous le soleil d’Onassis. Grises comme les rancœurs maternelles. Photographie automnale pour un présent d’antan. S’accrochant à l’espoir d’un impossible retour, la magicienne se désole de n’être plus capable de faire des miracles. Ses caniches nains souffrent avec elle. Au milieu de fantômes, elle transforme les places de la capitale ou son salon immense en théâtre lyrique. Juste une illusion.

Après Jackie Kennedy, qui hante le décor ici encore, et Diana Spencer, Pablo Larraín clôt une trilogie honorant des femmes devenues icônes et qui dans la tragédie ont écrit leur légende. La Callas confie ses mémoires à un intervieweur qui porte le nom de son premier calmant. Après Natalie Portman et Kristen Stewart, c’est Angelina Jolie qui endosse le costume. Comme à l’accoutumée, l’on ne peut qu’être étonné par le choix du réalisateur. Malgré son talent, l’Américaine n’a rien à voir avec la cantatrice grecque et ne parvient jamais à s’effacer. Si bien que l’on se demande si le biopic illustré n’est pas celui d’une star hollywoodienne qui s’apprête à dire adieu au cinéma. Malgré l’élégance ambiante, l’ensemble manque de chair, comme le corps émacié de la prima donna qui ne boit que des bulles et se nourrit de cachets. Derrière la glace, l’émotion pointe néanmoins grâce aux arias enchanteurs qui réchauffent les cœurs. Et c’est dans le regard attristé des domestiques fidèles et malmenés par les caprices de Maria que l’humain sure le divin. En préparant une simple omelette ou en déplaçant sans cesse le piano, le dos cassé, ce couple touchant d’anges protecteurs survivent au mythe.

(6.5/10)Voir plus

Dernière modification il y a 3 mois


Eric2017 4ln1c

il y a 3 mois

Je n'ai pas aimé ce film. Ce n'est pas la Callas que je n'ai pas aimé mais bien Angelina Jolie a qui on a probablement demandé de faire de longues poses pour la caméra. Tous les plans sont faits pour LA montrer. J'ai vu deux films sur la cantatrices et jamais je ne suis ressorti en pensant du mal de cette soprano. Mais dans cette version, l'actrice sure l'héroïne par ses attitudes et ses agissements. En plus la reconstitution d'images d'archives en n/b mais avec toujours Angelina est franchement nulle. Pourquoi ne pas incorporer de vraies images de l'époque puisqu'elles existent ? Au final et en sortant de la salle, j'en suis venu à détesté La Callas, ses comportements etc... alors qu'en vérité j'ai détesté Angelina Jolie. Je n'ai jamais ressenti ça dans les autres biopics/doc. Et enfin j'ajoute qu'en fin de film, là où enfin on nous montre des archives de la vraie cantatrice, on se rend compte que le casting est raté, car Angelina Jolie n'a pas du tout le profil grecque. Décevant en tous points.
(G-10.02.25)Voir plus

Dernière modification il y a 3 mois


Cineion u5s38

il y a 4 mois

Très bon film, bravo au travail de reconstruction d'époque, de l'appartement prèsque identique de La Callas. Tout le boulot fait par Angelina Jolie(snobée par Hollywood) qui méritait beaucoup plus la place de Nicole(bof) Kidman... Bravo 👍 👏


Autres critiques de films 4s3q6s

En première ligne 472g45

Bergers 65n3g

Dans la cuisine des Nguyen 6s42q

Monsieur Aznavour r6k38